Avec ce confinement, mon esprit se brouille un peu plus, et la dépression me fait de l’œil.
Je doute beaucoup de moi.
Je doute beaucoup de moi.
Qui suis-je ?
Je savais très bien qui j'étais il y a quelques mois, alors pourquoi maintenant, je ne me reconnais plus ?
Je savais très bien qui j'étais il y a quelques mois, alors pourquoi maintenant, je ne me reconnais plus ?
Il paraît que c'est la 20taines...
À mon âge, j'aurais voulu être tant de choses, et accomplir encore plus.Je sais que je peux atteindre mes objectifs, ou du moins une grande partie, mais c'est avec du travail de la détermination de la volonté et encore tellement d'autre connerie que je n'ai plus.
L'envie ne suffit pas, j'ai tellement peur de commencer qu'au final, je ne fais rien.
Ah encore cette peur. Toujours la peur. Ma plus vieille amie.
Pourquoi je repousse toujours un appel ?
Pourquoi je trouve la motivation que pour Binge watcher Netflix ?
Je sais que chaque tâche est ridicule à réaliser : un appel pour prendre RDV, un SMS, un e-mail.
Écrire quelque ligne.
Mais je n'y arrive pas, pourquoi ?
Pourquoi la vie me paraît elle comme une corvée immense ?
Pourquoi dois-je être autant émotive, susceptible ?
Pourquoi j'écoute toujours la méchante voix dans ma tête ?
Celle qui me rabaisse, celle qui me dis que je ne suis pas assez drôle, jolie, douce, féminine ;
pas assez intelligente, pas assez cultivé, celle qui me rabaisse quand j'ouvre la bouche pour me dire que je suis débile et inutile.
Celle qui me juge si sévèrement qu'on dirait qu'elle me déteste.
J'ai appris avec ce confinement un peu plus sur moi. Je suis compétitive.
Je veux prouver au monde que je ne suis pas qu'un moins-que-rien.
Je veux me le prouver plus que tout ; à cette garce dans ma tête.
J'oublie souvent que je dois aimer qui je suis. Et m'améliorait chaque jour pour être la personne que je rêve d'être.
Travailler dur paye toujours, c'est quelque chose dont je ne doute pas.
Mais je ne saute jamais le pas.
Tout comme mon voyage en solitaire, c'était hypothétique, une idée idyllique.
Et puis un jour, j'ai pris mon courage à deux mains et hop j'ai pris mon billet de train.
J'ai énormément angoissé, mais je suis tellement heureuse d'avoir réussi à faire ça.
J'ai voyagé en sac à dos, seule.
Une réponse ?
Un indice peu être ?
Écrire quelque ligne.
Mais je n'y arrive pas, pourquoi ?
Pourquoi la vie me paraît elle comme une corvée immense ?
Pourquoi dois-je être autant émotive, susceptible ?
Pourquoi j'écoute toujours la méchante voix dans ma tête ?
Celle qui me rabaisse, celle qui me dis que je ne suis pas assez drôle, jolie, douce, féminine ;
pas assez intelligente, pas assez cultivé, celle qui me rabaisse quand j'ouvre la bouche pour me dire que je suis débile et inutile.
Celle qui me juge si sévèrement qu'on dirait qu'elle me déteste.
J'ai appris avec ce confinement un peu plus sur moi. Je suis compétitive.
Je veux prouver au monde que je ne suis pas qu'un moins-que-rien.
Je veux me le prouver plus que tout ; à cette garce dans ma tête.
J'oublie souvent que je dois aimer qui je suis. Et m'améliorait chaque jour pour être la personne que je rêve d'être.
Travailler dur paye toujours, c'est quelque chose dont je ne doute pas.
Mais je ne saute jamais le pas.
Tout comme mon voyage en solitaire, c'était hypothétique, une idée idyllique.
Et puis un jour, j'ai pris mon courage à deux mains et hop j'ai pris mon billet de train.
J'ai énormément angoissé, mais je suis tellement heureuse d'avoir réussi à faire ça.
J'ai voyagé en sac à dos, seule.
Je suis CETTE personne.
Alors pourquoi autant réfléchir a commencé quelque chose ? Je n'aurai jamais de début parfait, je ne peux pas exceller dès le départ, c'est impossible. Il faut apprendre, et évolué.
Alors pourquoi pas publiait ce texte ? Ce texte brouillon à souhait.
J'aurai fait le plus du: Commencer.
Alors pourquoi autant réfléchir a commencé quelque chose ? Je n'aurai jamais de début parfait, je ne peux pas exceller dès le départ, c'est impossible. Il faut apprendre, et évolué.
Alors pourquoi pas publiait ce texte ? Ce texte brouillon à souhait.
J'aurai fait le plus du: Commencer.
You
Faced Your Fear